Lundi 8 Avril 1991 - Suite La Nuit Avec Monique
Nous entrâmes au restaurant où javais réservé une table dans un coin de façon à être
tranquille. Je recommandais à Monique le buffet, qui était bon et copieux. Lentrée ayant
été récupérée, par curiosité je lui demandais comment il se faisait quelle avait
récupéré ce job.
Monique : « Odile ayant accouché, est revenue le premier janvier 88, cétait temps, car
jétais enceinte de six mois. Que cest il passé mais début août elle sest fait viré et
ton successeur me connaissant a fait appel à moi. Ayant accouché en mars, jétais libre
il et ma embauché ». Tout se passait bien, alors je demandais à Monique : « Avant
daller plus loin, jusquà quelle heure me fais tu lhonneur de rester avec moi ? »
Monique : « Cest toi qui décide,
si tu minvites au delà du diner,
je peux rester
jusquà
disons
6,00 heures du matin,
»
Moi : « Wouaf,
cest vrai,
»
Monique : « Oui,
normalement, je couche chez une amie, la marraine de ma fille,
»
Moi : « Quoi, tu as une fille,
et tu ne mas rien dit,
elle a quel âge,
»
Monique : « Deux ans et demi,
»
Moi : « Et ton amie ne se pose pas de questions de savoir ce que tu fais pendant quelle
garde ta fille,
»
Monique : « Cest déjà arrivé, deux ou trois fois, quand on va au théâtre avec mon mari,
elle est veuve, son mari a sauté sur une mine en opération, elle est sans ,
elle travaille à la gestion du personnel,
»
Moi : « Elle doit sacrément tapprécier,
tant mieux pour moi,
je vais tavoir à moi
toute la nuit,
»
Monique : « Oui,
depuis le temps que jen rêve,
passer une nuit avec toi,
une folle
nuit,
»
Moi : « Je vais essayer dêtre à la hauteur,
»
Monique : « Quand je pense que la dernière fois que lon sétait vu, après le pot,
javais décidé de fermer la boite aux souvenirs. Et tu te souviens,
la veille de ton
déménagement je suis venu te voir, non plutôt,
je suis venu moffrir à toi,
cétait
la dernière fois que tu me prendrais,
mais jen avais tellement envie,
je me suis
comportés comme la dernière des filles,
une véritable salope,
et encore,
»
Moi : « Non,
pourquoi, disons plutôt comme une amoureuse,
»
Monique : « Tu parles,
à peine entrée, jai jeté ma robe au loin, pour te montrer que,
comme tu aimais jétais venue nue, prête pour toi.
partout,
et pendant une heure je métais entièrement et complétement donnée à toi,
et
là, après, javais vraiment décidé de fermer la boite à souvenir
Une ou deux fois, je
suis allée au parking à penser ce que nous avions fait,
Mais les souvenirs étaient
rangés dans leur boite sur létagère, en haut,
Et tout dun coup tu ressurgis,
et tu
ouvres de nouveau la boite à souvenirs,
et je me précipite,
»
Moi : « Tu le regrettes,
»
Monique : « Non,
et tu les sais,
et tu profites de ma faiblesse,
faiblesse
consentie, je lavoue,
mais,
»
Moi : « Après le diner, puisque tu me fais lhonneur de rester, je tinvite dans ma
chambre et nous pourrons reprendre notre conversation au lit,
»
Monique : « Daccord,
mais laisses moi un peu de temps pour prendre une douche et me
préparer,
pour toi,
»
Moi : « Préparer quoi,
prendre une douche,
je ne veux pas que ta chatte sente le
savon,
mais quelle sente ton odeur à toi,
»
Monique : « Mais,
bon,
jai apporté une jolie nuisette,
à mettre pour toi,
pour
te tenter,
qui suggère tout,
et ne cache rien,
»
Moi : « Oublies ta nuisette,
ce que jaime,
cest tu enlèves ton corsage, le jette au
loin et tes beaux seins apparaissent les tétons pointant durs,
puis tu jettes ta jupe
au loin et tu est ainsi nue,
enfin tu te laisses tomber sur le lit et les jambes bien
écartées,
la chatte bien en vue,
tu toffres à ma vue,
»
Monique : « Comme tu voudras amour,
mais avant on va faire un tour dehors pour se
préparer,
profiter des coins sombres,
se chauffer,
»
Moi : « Ça cest une bonne idée,
allons y,
et toi quest-ce que tu aimes,
»
Monique : « Ce que jaime,
jaime tout ce que tu me fais,
serres moi fort,
»
Moi : « Dans mes bras,
comme ça,
contre moi,
que je te respire,
» et javais glissé
une jambe entre ses cuisses et elle avait commencé à se frotter sur ma cuisse, et elle
repris : « Oui, comme ça,
je te sens contre mon ventre,
je ne suis plus quun
ventre,
quun sexe,
qui tattends,
qui te désire,
arrêtes,
je sens que tu vas
me faire jouir,
»
Moi : « Viens,
on rentre,
mais avant,
»
Monique : « Quoi,
Moi : « Je veux te caresser,
je veux voir si tu es chaude,
»
Monique : « Tu s,
Oh,
oui,
je sens ta place,
je veux que tu me prennes,
»
Soulevant sa jupe, alors quelle écartait les jambes, je glissais une main curieuse dans
son entrejambe, qui était chaude et humide,
et laissais trainer un doigt dans la petite
raie de sa chatte.
Monique : « Tu exagères,
Monsieur est satisfait, de son inspection,
viens,
dépêches
toi,
»
Et nous partîmes pour la chambre. A peine arrivée, Monique balança son corsage et les
seins en avant elle vint vers moi, les tenant dans ses mains « Viens,
prends les,
ils
sont gonflés,
ils ont besoin dêtre sucés,
tétés,
» et cest ce que je fis. Ma
bouche ayant honoré cette belle poitrine, Monique se recula et défit sa jupe quelle jeta
sur un fauteuil. Nue, mais ayant gardé ses escarpins, elle marcha jusquau bout de la
chambre, demi-tour, et revint. Il faut reconnaître, étudiant jaurai dit : « Elle a un
sacré châssis cette nana », que cétait une belle femme, et qui sait se promener nue, en
arrivant vers moi, elle mit ses bras autour de mon cou, se collant à moi : « Je me
demande si tu as envie de moi,
hum,
je sens que ça vient,
» et laissant ses
escarpins , elle sassit sur le lit : « Viens,
tu es encore habillé,
je vais taider,
» En fait elle ne soccupa que douvrir la ceinture de mon pantalon et douvrir ma
braguette, dabaisser pantalon et caleçon, puis voyant la chose qui commençait à me
faire honneur : « Tu sembles en forme,
» et elle termina sa phrase par un léger coup de
langue sur le gland avant de se laisser tomber sur le lit, les cuisses largement
écartées, offerte,
prête volontairement, à être consommée, !!!!
« Viens,
je suis prête,
ne me fais pas attendre,
tu aimes que je sois comme ça,
jaime que tu me regardes quand je suis ainsi,
je sais que tu vas maimer,
me faire
jouir,
viens,
» Je mallongeais à coté delle. A peine allongé, Monique tendit la main
vers ma tige et commença à la caresser doucement : « Oh,
tu commences à être
intéressant,
jaime te sentir te tendre dans ma main,
laisses moi faire,
je te
veux,
je vais te prendre,
» et joignant le geste à la parole, elle se redressa et
menjambant et à califourchon elle prit ma queue et la dirigea vers et dans sa chatte et
sempala doucement dessus, pour enfin lenfoncer brutalement avec un OH de satisfaction.
Bien plantée sur ma queue, je la tenais par les hanches, elle, les mains sur les hanches
se mit à pratiquer une espèce de danse du ventre, qui avait ma bite comme axe, cétait
excitant au possible pour moi et pour ma partenaire, et elle semblait apprécier ce
quelle faisait : « Oui,
cest bon,
je te sens bien,
je me faits lamour,
prends
mes seins,
ils sont gonflés,
caresses moi,
» Je lâchais ses hanches pour moccuper
de ses seins, qui étaient gonflés et dont les tétons pointés durement. Puis elle se
laissa tomber sur moi, dans lélan, jen profiter pour passer sur elle.
Elle me serra entre ses cuisses et je commençais mes va et vient, certes un peu
brutalement, mais je savais quelle aimait quà partir dun certain moment, il fallait la
baiser fort et elle le demandait, cétait souvent le moment où elle était sur le point de
partir, de séclater, et en fait : « Oui amour,
prends moi fort,
baises moi fort,
baises moi comme ta salope,
dis moi que taimes me baiser,
oui,
remplis moi de toi,
OUIIII,
ne tarrêtes pas ,
ça vient,
OUIIIIIIIII,
OOOHHH,
OUIIIII,
»
A peine commençait elle à jouir que bien enfoncé dans son fourreau, je méclatais dun
seul coup, alors quelle, secouée par un spasme, elle écartait les jambes pour les
refermer brutalement autour de moi et se cambrer avec une telle force quelle me
soulevait, pour enfin se laisser retomber, le souffle court. Ayant repris son souffle,
bien étendu à coté de moi, les jambes bien écartées elle se mit à faire jouer les muscles
de son ventre, de son bas ventre. Surpris je la regardais faire, quand je maperçus que
du sperme coulait de sa chatte. Du bout de ses doigts elle le récupéra et me regardant,
elle les porta à sa bouche et les suça : « Avec toi, jaime à gouter à notre plaisir,
je tadore,
fais moi faire mon câlin,
quand tu méclates de plaisir,
jai besoin
dun gros câlin,
viens,
»
Moi : « Oui,
viens contre moi,
quest ce qui te fait plaisir,
»
Monique : « Quand je suis, ainsi, dans tes bras,
que tu es bien contre moi,
je te
sens contre mon ventre,
que tu deviens dur,
cest le commencement du plaisir,
mais
pourquoi je te dis ça,
tu me déshabilles physiquement,
et maintenant intimement,
je
suis folle,
»
Moi : « Continues,
ça te fais plaisir de te raconter,
car tu aimes le sexe,
jadore
técouter,
et tu aimes mexciter,
ça texcite,
»
Monique : « Oui,
jaime parler avec toi,
jaime te sentir devenir dur,
tu vas
penser que je suis une belle salope,
mais, jaime que tu glisses une jambe entre mes
cuisses,
comme tu las fait toute à lheure,
et je peux my frotter,
ça me prépare
au plaisir de tavoir,
de devenir tienne,
je ne suis plus quun sexe,
qui tattend,
puis quand on a fait lamour,
un câlin contre toi,
jai le corps,
et lesprit qui
se calment,
»
De nouveau, elle se calla contre moi et rapidement sendormit.
sombrer, la tête pleine de ce qui cétait passé
En cours de nuit, une main se posa sur « popol » et se mit à le caresser, ce qui me
réveilla instantanément, et Monique se calla un peu mieux contre moi, je sentais ses
seins contre ma poitrine, je me mis à la caresser : « Continues à me caresser,
jaime
tes mains sur ma peau,
caresses moi partout,
»
Moi : « Partout,
tu es certaine,
»
Monique : « Oui,
partout,
tu aimes que je te demande,
oui partout,
ou tu veux,
»
Moi : « Daccord,
mais je veux que tu me prennes dans ta bouche,
jaime sentir ta
langue me lécher,
»
Monique : « Jaime tavoir dans ma bouche,
surtout quand tu durcis,
» et elle se
tourna pour sapprocher de ma bite et ainsi me présentait son joli cul.
Moi : « Si tu veux que je moccupe de ta chatte,
ta jambe par-dessus,
»
Cest ce quelle fit, et ainsi elle me donnait sa chatte à gouter pendant quelle
soccupait de ma tige, qui sous les douceurs de sa langue et de sa bouche commençait à me
faire honneur. Quand elle jugea que la chose avait la consistance nécessaire, et que sa
chatte était prête, chaude et humide à souhait, elle revint sur moi et en membrassant
enfin en me léchant la bouche pour gouter à son jus de plaisir : « Viens,
prends moi,
dépêches toi,
montes moi,
jattends que tu me montes,
» et elle se mit en levrette,
ses belles fesses fermes et bien rondes en évidence. A laide de ma bite je parcourais
gentiment la raie de ses fesse jusquà la raie de sa chatte puis remontais et
redescendais, sachant pertinemment que, rapidement, il y aurait une réaction : « Arrêtes,
je vais hurler,
prends moi,
» Sans hésiter je menfonçais dans sa chatte bien
humide et bien chaude, ce qui fut accueilli par un « OH,
OUI,
enfin
» et cramponné
à ses hanches je mefforçais de satisfaire cette belle femelle qui attendait que je la
fasse jouir, une claque sur ses belles fesses : « Oh,
Oui,
jaime,
oui, baises moi,
très fort ,
dis moi que tu aimes me monter,
je suis ta femelle,
jaime que tu
sois sur moi,
er dans moi,
» puis elle positionna sas mains sur ses fesses, les
écartant, ce qui me donnait une belle vue sur sa rosette : « Je sens que tu as envie que
je prennes ton joli cul,
»
Monique : « Oui,
prends moi par là,
encules moi,
jen ai envie,
oui,
rentres,
»
Je me retirais de sa chatte chaude, ouverte et ruisselante et y trempais mes doigts pour
humidifier sa rosette et ainsi je changeais de cible, me positionnant sur sa rosette dont
jappréciais la souplesse du bout de ma queue, et Monique tenant ses fesses bien écartées
je commençais à forcer le passage.
Monique: « Oui,
commences doucement,
ça fait longtemps,
ouiii,
encules moi,
encules moi fort,
rentres, je te sens,
OH, OH,
rentres jen ai tellement envie,
ouiii,
défonces moi le cul,
OOOOHHH,
ouii,
»
Javais commencé doucement mais, elle avait fini par se décontracter et comme elle me le
demandait javais , et réussi à menfoncer entièrement dans elle. Les va et vient
lents au début saccélérèrent, pour agrémenter le plaisir, alors quelle avait une main
qui avait rejoint sa chatte et qui sy activait, je lui collais une claque sur ses jolies
fesses, ce quelle avait appréciée en disant : « Ouiii, baises moi fort,
ne tarrêtes
pas,
je te sens,
oui remplis moi,
dis moi que tu aimes me prendre le cul,
OOOHHH,
OUIIII,
continues, je sens que je vais jouir,
oui prends moi profond,
»
Je continuais de la ramoner sérieusement, puis je marrêtais brutalement, réaction
instantanée
Monique: « Ne tarrêtes pas,
cétait bon, continues,
OOOOHHH,
OUIIIIIIIII,
OUIIIIIIIIII,
»
Un bel orgasme la fit se tendre, alors que je me vidais dans son fondement. Elle saffala
sur le lit et se retournant, vint se coller à moi.
Monique : « Cétait bon,
tu as aimé,
me prendre ainsi,
ça me rappelle de bons
souvenirs,
mais tu es un profiteur,
embrasses moi,
il faut dormir,
demain je vais
avoir une tête,
»
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